Des Dumais qui ont marqué l’histoire

Notre famille est riche en histoire et il me fait plaisir de vous présenter quelques un de nos ancètres qui se sont illustrés. Si vous avez des informations supplémentaires, il me fera plaisir de les ajouter au présent texte. Vous retrouverez tout l’information de ces Dumais, dans les livres mis en vente sur cette page.

Vincent 1761-1811 de la Paroisse de Rivière-Ouelle, dans le fief St-Denis,est celui qui a la plus grande descendance de Dumais

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Pascal Né le 11 septembre 1798, fils de Vincent Dumais et de Marie-Modeste Sérien dit l’Anglais. Reçu notaire le 15 novembre 1819. Pratique sa profession à Cacouna jusqu’en 1842, puis à Kamouraska jusqu’en 1873. Il fut Président de la chambre des notaires du district de Kamouraska. Nommé député Régistrateur le 3 février 1842, président de la commission scolaire. Parmi sa descendance, nous retrouvons l’espion Lucien Dumais mentionné ci dessous et

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le champion olympique Troy Dumais. Plus de détails dans les livres mentionnés sur la page ; Publication

Pascal-Horace 1836-1906 En 1853, il décida de faire carrière comme arpenteur. De 1853 à 1856, il complètes ses étude chez l’arpenteur Duncan Ballantyne, de l’Islet. Il doit attendre (dû à son jeune âge) un an pour passer ses examens au bureau de Québec et reçut son diplôme le 8 octobre 1857. s

Émile 1837-1910

Séverin 1840-1907 En 1860, il obtient un Brevet d’Instructeur d’Ecole pour le français et l’anglais, signé par l’abbé Nicolas Hébert Ptre, président du Bureau des Examinateurs pour le comté de Kamouraska et par le notaire Pascal Dumais, secrétaire. Il fit sa cléricature chez son père à Kamouraska, chez le notaire Roy à Papineauville et chez le notaire T. de Guise à Sainte-Anne-de-la-Pocatière. Admis à la pratique du Notariat par la chambre des Notaires du district de Kamouraska le 4 mars 1864. Il vint pratiquer à Hébertville.

Marie-Laure 1843-1919

Paul 1847-1925 De 1887 à 1890 il fut ingénieur de la ville de Hull et échevin de cette même municipalité de 1883 à 1907. Il fut aussi ingénieur de la municipalité d’Aylmer. 
De 1899 à 1902, il participa à des expéditions au Yukon pour le compte du gouvernement fédéral pour des travaux d’arpentage. Ses voyages dans l’Ouest Canadien, pour le même but sont au nombre de 28.
Jusqu’en 1910, il fut entrepreneur général pour la construction de quais sur le St-Laurent.
En 1906 et 1907, il avait obtenu au Canada et aux Etats-Unis des patentes pour améliorations qu’il avait imaginées dans les travaux de construction des quais en béton. Décédé à Hull, le 27 décémbre 1925

Albertine 1880-1957 En 1918, elle s’était occupée d’amasser des fond pour l’érection du premier monument au Sacré- Coeur, situé au coin de la rue Paradis et du blvd St-Joseph. Le but de cette oeuvre était de préserver de la guerre les gens d’âge militaire.

Joseph-Simon 1893-1980 Les citoyens de Lac-Bouchette, s’en souviendront, a déjà été maire de la municipalité dans les années 50 et fut conseiller pendant douze ou treize ans. Il fut également à l’origine de la construction de la route de La Tuque, un dossier qui fut par certains moments, comme nous l’indiquait M.Dumais qui, à 87 ans, occupe le poste de président du Comité des bénéficiaires de l’établissement depuis deux ans

Marc Dumais Chef des forces armés en Afganistan

Paschal Dumais Mon arr.arr.grand-père, premier à avoir colonisé le village de mon enfance Lac-Bouchette.

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Lucien Adélard Dumais fut le seul Canadien français à être chef d’un réseau durant la Seconde Guerre Mondiale. Il est né à Montréal vers 1904. Son grand-père, Israel, fut le premier notaire à Roberval, 1868.

Dès le début de la guerre contre les Allemands, Il se porte volontaire et va suivre un entraînement à l’école de commando en Angleterre en vue du raid de Dieppe. Il est fait prisonnier lors du raid de Dieppe mais réussi à s’échapper après seulement quelques dizaines d’heures passées aux mains des Allemands.
Il est aidé par des résistants et quitte la France par Marseille puis Gibraltar avec le réseau de Pat O’Leary: Escapade et Évasion.
Par la suite, il reçoit un entraînement au combat de 4 mois avec la Première Armée Britannique en Afrique du Nord.
Revenu en Angleterre, il fut recruté par l’IS pour former un réseau chargé de l’évacuation des aviateurs alliés en France, le réseau Shelburn. Arrivé en France, il met sur pied un réseau de logeurs à Paris, puis se rendit à Saint- Brieuc pour préparer la première opération  Bonaparte. À la fin de la Guerre, le réseau Shelburn avait évacué 307 aviateurs. Dumais avait réussi …
Au cours de la Première Guerre mondiale, son père l’envoie en campagne où le coût de la vie est moins élevé. Lucien est de petite taille mais ne s’en laisse pas imposer. Il est toujours prêt à se battre pour défendre son honneur. Dès son plus jeune âge, il s’intéresse aux armes et à la vie militaire.
Il rejoignit le régiment Les Fusiliers Mont-Royal en 1934 à l’âge de 29 ans, comme soldat de réserve. En 1937, il se qualifie à l’École militaire de Saint-Jean et est promu caporal. Au début de 1939 il sera promu sergent. Il quitte Val-Cartier le 27 juin 1940 avec les FMR pour une destination inconnue.( Il quitte le Canada le 29 juin 1940 à Truro, Nouveau-Brunswick ) Il apprend par des membres de l’équipage que le navire se dirige vers l’Islande. Il y commanda son peloton jusqu’au 3 octobre 1940, pour s’opposer à un éventuel débarquement allemand.

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